Rencontre avec les kangourous lors de notre remontée de la côte Est
Lien en vidéo : Road Trip 4×4 en Australie. Rencontre incroyable avec les kangourous! Épisode 2
Kangourous en vue !
Pour commencer, nous voilà à Horizons Kangaroo Sanctuary & campground. Garry accueille des kangourous blessés. Le lieu est magique.
Une belle végétation où les kangourous vont et viennent à leur guise. Nous nous promènerons dans la propriété pour découvrir cet animal de plus près. Nous pourrons même en caresser quelques uns.
Nous sommes en fin de journée et les lumières rendent ces moments encore plus intenses. Ici le campsite est petit et intime.
Nous croiserons pour la première fois plusieurs voyageurs. Toilettes, douche chaude, cuisine et coin repas viennent combler ces beaux moments, en plus du coucher de soleil !
Il semblerait que nous ayons gagné en chaleur. Ce soir, nous pourrons rester plus tardivement dehors ce qui n’est pas désagréable.
Nous y resterons 2 nuits. Camille tombera amoureuse de ces marsupiaux et profitera d’aller leur donner à manger des patates douces le matin et le soir. Ils pourront être nombreux au rendez-vous jusqu’à 25 en même temps.
Depuis le campsite, nous irons dans la ville d’Agnes Water à pied en passant par le Bush. Nous y croiserons aussi des kangourous, mais plus sauvage. Ils partiront rapidement suite à une tentative d’approche. La plage d’Agnes Water est belle. Nous irons faire un lookout avec un beau panorama.
Nous rentrerons tôt au campement pour profiter de ce petit havre de paix. Camille passera l’après-midi auprès des kangourous. Nous échangerons avec plusieurs voyageurs français et échangerons sur nos expériences.
Le lendemain, nous irons nous balader sur The Paperback Trail.
Un chemin qui dure 10 minutes mais qui vaut la peine d’être fait. Nous sommes dans une forêt de Tee tree, nommé aussi arbre à papier. Ces arbres ont pour habitude de pousser dans les marais et sont présents sur la côte Est de l’Australie.
Une forêt très belle où des herbes grimpantes viennent mettre leur petit grain de sel. Un parcours ludique car il se parcourt sur des plots ou des planches de bois au vu de ces arbres qui poussent dans les marais.
Nous poursuivons sur Seventeen Seventy – 1770. Une petite bourgade qui tient son nom à l’année où le Capitaine Cook a posé pied à terre pour la deuxième fois en Australie (la première étant au sud de Sydney),mais la première fois dans l’état du Queensland.
Elle serait la seule ville au monde à avoir un nombre comme nom. Nous poussons jusqu’à la pointe où les panoramas sont très beaux. Une roche ocre, des bancs de sable et la couleur du sable qui s’harmonise parfaitement avec la couleur de l’eau.
Direction la ferme
Nous reprenons la route pour 3 heures jusqu’à Alkoomi Adventure Farmstay and Campground.
Une famille ayant une énorme ferme dans l’ouest australien a tout vendu et est venue ici pour créé il y a 7 ans cette ferme comportant 92 bœufs. La famille a créé un joli domaine avec un campground. Un lieu axé pour les enfants avec des balançoires, une tyrolienne et la possibilité de nourrir les animaux tous les soirs.
Un lieu avec pleins de charme. Des petits barbecues et un lieu pour se retrouver autour d’un feu de camp. Ils vendent leur propre viande qui est excellente et vraiment bon marché. Les enfants étaient ravis de jouer avec d’autres enfants. Camille et Naël apprécieront comme à leur habitude prendre soin des animaux.
Nous aurons l’occasion d’échanger avec un couple francophone qui arrive au terme de leur aventure australienne d’une année. Nous savourerons cette journée à ne rien faire, même si les tensions dans la fratrie sont bien présentes. Ils expriment tous les deux d’en avoir marre d’être ensemble. Ils ont besoin d’être plus souvent seul. Nous essayerons de passer plus de temps en séparant chaque adulte avec un enfant. Le magnifique coucher de soleil que nous verrons en haut de la colline donne à méditer sur un meilleur équilibre pour les mois à venir.
Attention crocodile
Stop après 3h30 de route dans un free campsite en bord de mer, Notch Point Campground. Nous ne sommes pas les seuls mais le lieu est grand. Notre terrasse donne sur un bras de mer à marée basse. Camille nous fera un beau soleil dans le sable et les enfants trouveront des Bernard l’ermite.
Le sable est parsemé de petites boules faites par les crabes. Celles-ci forment comme des fleurs !
Un feu de camp pour nous réchauffer et cuire nos saucisses faites maison par Alkoomi Adventure, notre précédent stop. Le coucher de soleil est comme tous ces derniers jours sublimes laissant apparaître un magnifique ciel étoilé.
Ce soir nous dormirons tous les 4 dans la tente de toit car les crocodiles sont présents sur ce site.
J’aime me retrouver tous les 4 ensemble. Je me sens davantage en sécurité et j’ai 3 jolies petits bouillottes qui me réchauffent dans ces nuits froides. Le matin le vent souffle. Le paysage a changé avec la marée haute. Nous déjeunons le plus à l’abri du vent possible et plions rapidement la tente de toit.
C’est beaucoup plus rapide quand l’extension de la tente de toit n’est pas mise. Au moment de partir, Patrice s’aperçoit d’une fissure dans le pare-brise avant. Nous ferons un petit détour avant d’aller dans notre futur destination pour éviter que le pare-brise ne se fissure davantage, surtout en faisant du off road. Nous roulons à travers des kilomètres de champ de canne à sucre. Mackay est la région qui produit un tiers du sucre d’Australie, on comprend mieux pourquoi! Bon, mauvaise nouvelle la fissure est trop importante, il faut changer la vitre. Il n’y a pas de place avant samedi. La femme très sympathique nous propose de prendre rendez-vous avec une autre entreprise plus au nord sur notre route.
Mignonnes ces petites bêtes
Nous poursuivons jusqu’à Eungella Réserve, un lieu connu pour pouvoir voir des ornithorynques.
En Australie, il y a 4 régions où ils sont visibles. L’heure la plus probable pour les voir est le matin tôt ou en fin de journée. Nous aurons l’occasion d’en voir plusieurs dont une fois de très près. Nous sommes étonnement surpris par leur petite taille. Les mâles mesurent en moyenne 50 cm pour 40 cm pour les femelles. Leur poids varie entre 1,7 à 2,6 km. Quand ils ne sont pas dans l’eau en train de plonger pour s’alimenter, ils sont dans leur terrier au bord du rivage.
Nous prenons le temps de regarder aux jumelles comment ils sont et comment ils nagent. Leurs pattes de devant sont palmées tandis que celles de derrières ressemblent à celles d’un chien qui leur permet de creuser leur terrier. Ils ont comme un bec de canard et leur queue est plate comme leur bec. Un joli moment pour nous qui nous permet d’en découvrir plus sur un nouvel animal. Nous continuons notre rituel de fin de journée en préparant le feu. Ici, encore plus que d’habitude car nous sommes dans les terres à 700 mètres d’altitude. Autant dire que le froid a vite fait son apparition.
Bien habillé pour passer la nuit, nous ne nous réveillerons pas à cause du froid, mais aux sons des oiseaux. Magique !
Nous décidons de nous poser deux nuits dans un campsite rudimentaire mais avec tout ce dont nous avons besoin. Un moment à ne rien faire, ça fait du bien. École, activités artistiques, montage vidéo, stop motion, pancakes, jeux et ne rien faire ! Nous voilà requinqués pour continuer notre montée au Nord.
Townsville
Après 2h40 de route, nous voilà à Townsville avant tout pour réparer le pare-brise de Trinity. Patrice nous dépose au bord de mer. Un bel endroit où des arbres énormes ont pris place. La végétation est belle et humide.
Nous irons nous faire un Fish & Chips, pendant que Patrice se fera un hamburger chez les américains. Notre repas sera carrément trop copieux pour nous. Le reste sera terminé par les enfants après avoir jouer dans l’eau.
En suivant les aventures d’un couple sur Instagram, nous découvrons le Strand Water Park. Des jeux d’eau mis à disposition gracieusement. Wow les enfants se sont éclatés ! Merci la ville de Townsville !
Patrice revient nous chercher et nous partons au Summit Loop Track de la ville. Un beau panorama sur une ville qui nous surprendra par sa grandeur.
Cascades en vue
Nous reprenons la route pour une heure. Comme à chaque fin de journée, les couleurs sont belles et douces. La lumière est vraiment particulière ici, je ne serais l’expliquer. Nous traversons des champs de manguiers et de cannes à sucre. Ces derniers sont pour certains en fleurs. Le rose vient contraster avec le vert de toute part. Juste avant la nuit tombée, nous arrivons dans la réserve de Paluma au campsite de Jourama Falls. En sortant de la voiture, nous nous faisons assaillir par des moustiques plus virulents les uns que les autres. On s’habille vite fait de la tête au pied et on s’asperge d’anti-moustique. Nous voilà prêts à déplier notre tente ! Nous sommes dans un campsite de l’état du Queensland. Le prix est toujours le même 28$ pour nous 4. D’habitude, nous sommes toujours un peu dégoûté car pour ce prix vous avez le droit qu’à des toilettes sèches alors que 10 minutes plus loin vous avez l’air de pique-nique gratuit avec à disposition des barbecues à gaz. Pour cette fois, nous y aurons aussi droit. Youpi! Nous nous ferons un beau sauté de légumes accompagné de viande. Nous ne sommes que 2 sur tout le campsite. Aucune lumière, juste le son du Bush. Mon imagination porte loin. C’est pour dire un petit bruit vient tout près de nous et je saute d’un bond sur la banc à côté de moi. Ne rigolez pas, c’était quand même une petite souris ! Sachant les bêtes qui se trouvent sur ce continent, nous sommes quand même attentif. Camille ne montre pas de crainte particulière. Naël, je le sens moins en sécurité. Il se sécurise comme il peut avec son doudou, sa lampe et d’autres objets qu’ils trouvent. Naël est en règle général plus peureux et moins sécure. Peut-être que ce voyage l’aidera à être plus serein au quotidien ou lors de divers situations. Dans tous les cas, c’est un dépassement de soi pour lui, pour moi et certainement pour toute la famille.
Nous entamons avec le petit déjeuner accompagné comme souvent des dindes sauvages qui sont à l’affût de nourriture.
Nous faisons attention à nos affaires car elles sont très rapide et ne loupent jamais l’occasion de sauter sur une de nos provisions. Les enfants aident de plus en plus. Nous essayons de partager les tâches et d’essayer de leur inculquer que nous devons nous entraider, que l’on fait les choses ensemble.
Nous continuons cette matinée par une ballade d’une heure aller-retour jusqu’à Jourama Falls. Le chemin est vraiment bien aménagé et nous offre deux points de vue sur des « piscines ».
De gros blocs de roches sont parsemés. La couleur de l’eau est limpide et reflète assez bien le paysage.
Le lookout nous emmène jusqu’à une passerelle avec vue sur la cascade qui est en fin de compte plusieurs petites cascades avec chaque fois sa petite piscine en-dessous.
1h30 de route, nous emmène à Girringun National Park, altitude 540 mètres. Le ciel est couvert et menaçant. Nous sommes ici pour admirer la plus haute cascade d’Australie, Wallaman Falls, d’une hauteur de 269 mètres. Un point de vue depuis le haut, accessible à tous, nous dévoile un décor somptueux. De grandes falaises sur son côté droit et tout autour de la végétation dense et humide.
Nous sommes dans la forêt tropicale unique en son genre. Nous continuons en prenant le chemin nous menant jusqu’au pied de Wallaman Falls. Ça descend, ça descend tout du long à travers cette forêt très humide, mais étonnement il y a même quelques sapins au loin.
Le point de vue depuis le bas est tout aussi beau. Le soleil se joint à nous pour quelques minutes et décuple la beauté du lieu et laisse apparaître un beau arc-en-ciel au bas de la cascade.
La montée se fait bien, mais avec la chaleur et l’humidité, nous suons. Aujourd’hui, nous aurons bougé physiquement un peu plus que d’habitude. Ça fait du bien !
Nous avons réservé dans le campsite juste à côté. Nous hésitons à y rester, le temps est toujours menaçant, mais nous sommes optimiste avec les quelques éclaircies eues auparavant. Le temps de monter notre campement et de prendre une « bonne » douche froide qu’il se met à pleuvoir. Il est 15h00, il ne s’arrêtera pas de pleuvoir jusqu’à ce que nous fermions les yeux.
L’extension de la tente n’a pas l’air d’être imperméable. Nous regroupons les enfants au centre. Heureusement, le toit est étanche (il fait partie de la tente du toit qui elle est étanche) et nous espérons qu’il s’arrêtera de pleuvoir dans la nuit. Il faut bien un peu d’aventure dans ce voyage ! Il ne s’arrêtera pas jusqu’au lendemain. L’extension est bien humide, mais les enfants sont un peu surélevés alors ils sont au sec. Nous profitons de la petite accalmie pour plier bagage. Nous nous arrêterons pour déjeuner un peu plus loin, en bas de la montagne, hors de la forêt tropicale qui retient les gros nuages.
A la recherche du casoar
Notre objectif de la journée sera de voir des casoars. Le plus grand oiseau d’Australie, le troisième au monde après l’autruche et l’émeu. Pour cela, nous nous rendrons à Missions Beach et tournerons dans le quartier de South Mission Beach sans en voir un. Ils vivent dans la forêt tropicale en bordure de la ville et sorte lorsqu’il fait beau. Peut-être que ce temps gris ne les attire pas!
La plage de Mission Beach est aussi connue pour sa beauté et sa couleur de l’eau. Avec toutes les pluies et le vent, nous ne verrons pas de turquoises mais du vert kaki.
Nous passons notre chemin et continuons à Etty Bay. C’est un autre spot à casoar. Ici aussi, il ne seront pas montré aujourd’hui. Nous croisons les doigts pour en voir au Nord de Cairns.
La plage d’Etty Bay est très belle et sauvage, pas contre ici les crocodiles sont présents. Un système est mis en place pour les baignades. Un sorte de filet. Je vous en expliquerai plus lorsque nous en saurons plus. Nous allons au campement gratuit dans la ville de Bebinda. Le lieu est très bien aménagé, il y a même des douches chaudes contre 2$. Nous ouvrons rapidement la tente pour faire sécher car tout a été plié mouillé ce matin. Avec la chaleur et les quelques timides rayons de soleil ça sèche, mais ça ne restera ps longtemps sec. Rebolote, il pleut toute la nuit. Le réveil est dur, il y a eu encore plus d’eau dans l’extension, tout est mouillé. Ça n’a pas l’air d’avoir déranger nos progénitures, mais nous oui, enfin surtout celui de Patrice. Le moral est un peu bas. Nous essayons d’aller voir l’attraction d’ici mais il pleut. Nous nous arrêtons dans un petit café et buvons une bonne boisson chaude et prenons la route de Cairns.
Cairns
Patrice est déçu. Il avait prévu plusieurs choses à faire dans le coin. Je relativise un peu plus, mais je suis fatiguée de ce rythme qui est quand même soutenu. Nous profitons de cette grande ville pour chercher un produit imperméabilisant pour tissus de tente, changer les pneus avant de Trinity car usés et nous voulons être prêt pour le futur off road qui nous attend et regarder pour un auvent à 270 degrés pour être mieux protégé quand il pleut et pouvoir cuisiner. Nous allons ensuite au campsite faire sécher nos affaires, des lessives et imperméabiliser notre tente. Jamais nous n’aurions pensé à avoir à faire à une forêt tropicale en Australie. Aucun de Patrice et moi n’avons regardé ce que l’Australie avait à nous offrir. Nous apprécions venir les yeux clairs loin de tout préjugés ou attente.
La nuit a été chaude et quasi sans pluie. Ce petit matin au réveil, l’air frais s’engouffre dans la tente et me renvoie dans mon enfance, il me renvoie à mon pays d’enfance où mes proches se trouvent. Une sensation agréable et rassurante. Je m’évade dans ces doux matins d’été frais que j’ai connu où l’humidité est présente. Ça fait du bien. Notre rythme n’est pas assez rythmé. Je crois que Naël n’a pas assez de repères. Nous subissons nos journées avec lui et serrons nos dents. Difficile d’être parent dans ces moments là. Je ne souhaite qu’une chose son bonheur, son bien-être et des moments paisibles ensembles. Nous partons à pied depuis le campsite du NRMA avec qui nous avons une réduction de 10% au vu de notre assurance chez eux, pour 20 minutes à pieds jusqu’au centre ville de Cairns. Au fur et à mesure de notre remontée de la côte Est, les aborigènes sont de plus en plus présents. Nous en saurons peut-être davantage maintenant sur leur culture. Nous nous promenons sur la longue esplanade du bord de mer. Il fait gris. Une pause au playground où nous profiterons de boire un café et un chai latte à emporter.
C’est un peu la coutume ici. Nous continuons jusqu’au lagon. Une belle piscine avec sable, pelouse et barbecue. A part cela nous ne trouvons pas un grand intérêt à cette ville. Nous continuons jusqu’à la librairie pour passer un peu de temps au vu du temps. Il pleut !
Cairns restera avant tout un arrêt technique pour nous.
Encore des cascades !
Patrice vraiment déçu de ne pas avoir découvert la partie sud de Cairns que nous aurons du faire, propose d’y aller quand même. Le temps s’améliore et nous profitons de ce créneau. Nous monterons à Tablelands où nous atteindrons les 1000 mètres d’altitude. La montée est très longue et sinueuse. Nous sommes sur une sorte de plateau avec une terre très fertile pour l’agriculture. Nous découvrirons un lac dans un cratère, il y en a trois dans cette région. L’eau est cristalline et se situe en plein milieu d’une forêt verdoyante. Nous poursuivons sur une série de cascades toutes plus belle les unes que les autres:
Nous redescendons pour revenir à Babinda, là où nous avions subit notre dernière pluie et allons voir les fameux boulders. Un lieu très bien aménagé avec même un accès à l’eau transparente. Bon, nous ne nous baignerons pas. La nuit ne tardera pas à arriver et le fond de l’air un peu frais. Nous profiterons plutôt d’observer le lieu et d’envoyer le drone pour le voir d’en haut. Magnifique. Nous immortaliserons cela en image.
Et la suite
Nous préparons au fur et à mesure nos stops. Pour la prochaine destination, nous nous rendons compte qu’il y a un peu plus de préparation que prévu! Nous voulons monter jusqu’au Cape York, mais en empruntant la mythique et la plus réputée des routes off road d’Australie. Et ouais ! Elle s’appelle la Old Telegraph Track (OTT). Il va y avoir de l’aventure, je vous le dis ! Pour cela, Trinity part au garage pour être sûr qu’elle soit au top de sa forme. Nous analysons la route et le temps qu’il faut. Nous parlons avec les australiens et nous prenons la moindre information utile. Nous devons aussi réserver les campsites car l’accès à internet est limité. Dernière chose, nous devons préparer un avitaillement pour être autonome 14 jours. C’est un peu une préparation de transat en fin de compte. Ça on connaît. Par contre, la route off road, difficulté moyenne voir élevée, ça sera notre challenge.